mercredi 30 juillet 2014

[Sortie Ciné] Du livre au ciné ! La sortie de la semaine 30/07/2014


Du livre au ciné !!

"quand le livre prend vie au ciné"

30/07/2014 : Cette semaine au ciné on peut retrouver

 

SCIENCE-FICTION, ACTION
Chez 20th Century Fox France

"La Planète des Singes : L'affrontement" de Matt Reeves est une adaptation de l'oeuvre de Pierre BoulleLa Planète des singes : l'affrontement fut produit lors des 50 ans de l'oeuvre originale, écrite par Pierre Boulle.
Depuis sa publication en 1963, le récit s'est vu adapté huit fois au cinéma (en comptant cette version-ci) et connut également deux séries télés et plusieurs BD. La première adaptation, La Planète des singes, est réalisée par Franklin J. Schaffner en 1968 et suit fidèlement l'histoire originale.Charlton Heston jouera aussi dans la suite du film, Le Secret de la Planète des singes (1970). Les trois films suivants sont des suites directes alors que la version de Tim Burton en 2001 est un reboot sans lien avec les premiers films. Enfin, La Planète des singes : les origines et le nouveau volet sont des prequels à l'oeuvre d'origine. (source). (disponible chez Pocket)

Avec : Andy Serkis, Jason Clarke, Gary Oldman, Keri Russell, Toby Kebbell, Kodi Smit-McPhee, Judy Greer, Jocko Sims, Kirk Acevedo,...

En quelques mots :
Une nation de plus en plus nombreuse de singes évolués, dirigée par César, est menacée par un groupe d’humains qui a survécu au virus dévastateur qui s'est répandu dix ans plus tôt. Ils parviennent à une trêve fragile, mais de courte durée : les deux camps sont sur le point de se livrer une guerre qui décidera de l’espèce dominante sur Terre.

mercredi 23 juillet 2014

[Sortie Ciné] Du livre au ciné ! La sortie de la semaine 23/07/2014


Du livre au ciné !!

"quand le livre prend vie au ciné"

23/07/2014 : Cette semaine au ciné on peut retrouver

 

ANIMATION
Chez The Walt Disney Company France

"Planes" de Roberts Gannaway est également décliné en livre chez Hachette (64 pages).

Avec les voix françaises de : Fred Testot, Philippe Catoire, Audrey Lamy, Saïd Amadis, Serge Biavan, Gerard Darier, Jean-François Garraud, David Kruger,...

En quelques mots :
A partir de 3 ans Dusty est au sommet de sa gloire quand il apprend que son moteur est endommagé et qu’il ne pourra peut-être plus jamais participer à une course… Il se lance alors le défi de devenir pompier du ciel. Il suivra sa formation auprès de l’élite du genre en charge de la protection du parc national de Piston Peak. Cette équipe de choc est menée par Blade Ranger, un hélicoptère vétéran charismatique et est composée de Dipper, une grande fan de Dusty qui en pince pour lui, Windlifter, un hélicoptère de transport lourd en charge de larguer sur les lieux de l’incendie les intrépides et déjantés parachutistes du feu. Au cours de sa lutte contre le feu, Dusty va apprendre qu’il faut beaucoup de courage et ne jamais baisser les bras pour devenir un vrai héros.

jeudi 17 juillet 2014

[Musique-Live] Sur le Chemin d'Emmanuel Moire...

   
Fin de tournée... 
Pour la trace...
Pour les étapes...

[Sur le Chemin...]
Enghein, Le Mans, Abbeville, Paris, Marseille, Belfort, Evry, Margny,...

Après "[là] où je pars" et "L'Equilibre", en album et sur scène, j'ai bien sûr été au nouveau rendez-vous fixé par Emmanuel Moire depuis le mois de novembre 2013 sur le chemin de son parcours musicale et artistique.

Chaque soir de concert, c'était attendre cet instant où l'adrenaline monte, où la salle vibre sous les émotions à venir... Où l'on attend le cœur battant que la lumière se tamise. Où l'on guette l'arrivée des musiciens et évidement son arrivée...

Comme la surprise est importante pour lui aussi, j'ai voulu attendre que la tournée soit terminée pour en parler comme je voulais le faire, en soulignant les moments forts, en exprimant par des mots les émotions qu'il provoque et garder ainsi le souvenir de ces instants en les partageant.

Chaque soir, j'ai eu la boule au ventre, pleine de trac et d'impatience de ce qui m'attendait, de ce voyage qu'il me promet à chaque fois à coup de notes...

Car aller à un concert d'Emmanuel Moire c'est faire face à ses émotions, plonger dans des souvenirs, avoir le coeur qui bat parfois un peu plus fort, avoir aussi les larmes aux yeux, sourire avec lui et à cause de lui, pour la joie et le bonheur qu'il dégage à être là sur scène. C'est aussi chanter avec lui à tue tête, ou se rendre compte que l'on danse alors que l'on ne sait pas aligner deux pas... C'est aussi fredonner quelques heures plus tard un titre à haute voix...


Le premier soir, ce fut évidement le bonheur de découvrir le prochain morceau et surtout se dire à chaque étape, à chaque surprise de mise en scène : "comme il est malin...".

Chaque soir  c'était prendre place, impatiente...

L'introduction musicale du début de concert est  diablement maligne en évoquant ses morceaux les plus importants... On les reconnait alors un à un, et, certains soirs un peu magique la salle les fredonne doucement... Puis la musique monte crescendo... C'est angoissant et fort à la fois... La salle s'électrise, on le sent là, alors qu'il n'est même pas encore sur scène sous nos yeux. Je ne sais pas comment il fait chaque soir pour affronter ça. Chaque soir, c'est l'attendre, l'entendre avant de le voir... Le voir avancer sûr de lui, droit et fier. Le regard loin devant. Le voir se poser, s'ancrer dans le sol face à son micro et commencer à chanter "La vie ailleurs" dans une ambiance bleutée. Un message fort où sa voix monte crescendo pour se révéler tout en lumière avec un sourire éblouissant de bonheur. Il rayonnait littéralement et on ne pouvait que sourire à notre tour, impossible d'y résister.

"Demain sera le jour..." l'émotion de la salle, ces vibes... Une entrée sur scène forte et belle !

Quelques mots ensuite pour son public, pour le remercier de l'avoir porté lors de l'émission ce qui lui aura permis d'être là chaque soir devant nous et de reprendre son chemin...Le sourire s'installe...


Mais le sourire s'efface doucement ensuite sur la chanson qui suit... Entre ombre et lumière, la force de "La Blessure" me percute de plein fouet chaque soir. La rage qu'elle contient est déroutante et pourtant belle à la fois.
Emmanuel devient alors ce que l'on ne connait moins ou pas de lui. Ami(e)s cinéastes je vous invite à voir ce jeune homme en action. Méconnaissable ! Il y met toute sa force, sa rage et sa douleur, mais la voix, elle, ne scille jamais, la douceur n'est plus mais la puissance est au rendez-vous. On vibre de sa douleur, de sa blessure qui nous bouscule et nous renvoi aussi aux nôtres...

"Quelque soit la blessure, elle ne se voit pas trop..."

Simplement assis sur son tabouret...blessé... la musique est envoûtante et sa voix tout autant... les émotions se font intenses puis s'appaisent... la tempête est passée, la violence de la blessure aussi... les violons l'emporte et la batterie d'Eric se fait battement de coeur...

Elle était déjà très forte sur l'album mais après l'avoir entendu en live, elle devient bien fade à la réécoute, j'espère très fort qu'un CD live voit le jour...

Pleine lumière, "Suffit mon amour" fait le point, le bilan. "Assez", Emmanuel prend la scène d'assaut il pose ses conditions. Ce soir c'est lui qui conduit, on ne se promène pas sur son chemin, c'est lui qui nous emmène....
 

"Venir voir" nous ramène à l’apaisement. Sa voix nous calme, son piano s'adoucit, les notes se font mélodie. J'adorais déjà cette chanson, je l'aime encore plus!! Il sait donner à sa voix une douceur incroyable. Le frisson n'est jamais loin. Et puis ces notes au piano, je fonds à chaque écoute. Je suis là , je vois et j'écoute... Une chanson d'amour magnifique qui promet tellement après avoir reconnu à demi mot que l'on se donne une nouvelle chance...

"Tu devrais venir voir, même si c'est trop tard"

Et pourtant on devine que le retour est impossible. Chaque soir, je me prends une nouvelle émotion. Est ce un départ, un au revoir, une acceptation, une promesse? Est ce pour un amour perdu ou un être parti trop tôt?
Ce piano est encore plus fort que les mots, un personnage avec son propre langage. Je suis bouleversée chaque soir. un soir triste et un soir pleine d'espoir. Et sur la fin de tournée, quelques soirs, il rajoutera pour notre plus grande surprise, tout musicien qu'il est, quelques notes de plus...


"L'adversaire" vient systématiquement me secouer un peu... Pourquoi l'avoir placé ici? parce qu'il faut se reprendre après une déception? un échec? une fin? Sûrement... Le show de lumière rajoute de la force au propos et le rythme lancinant nous attrape rapidement et son assurance encore plus...
"à quoi ça sert? un adversaire..."
Effectivement, à rien... Cette batterie d'Eric qui s'emballe et qui envole à la fin, c'est ahhhhh !
Mais nous sommes sur son chemin, on a voulu le faire taire et non...

"allons voir ensemble, ce qui nous rassemble..."
"L'attraction" et sa vie d'artiste !

MA chanson préférée pour son rythme et ses mots, son message et ce magique "on la connait par cœur" qui explose à la fin...
Chanteur/acteur, on entre en quelques notes et quelques phrases sous le chapiteau...
Si intense sur "nous sommes tous des rêveurs, des rêveurs...", j'aime son jeu et son côté taquin, j'aime le rythme, j'aime "aller voir ensemble ce qui nous rassemble". C'est plus fort que moi le sourire s'étire sur mes lèvres et mon coeur fait quelques ratés sur sa voix qui monte... La batterie domine et j'adore ça ! Je bats le rythme crescendo !
Sa voix oscille entre aigue et grave : magique ! c'est confirmé,  je suis décidément une rêveuse...

L'attraction est ouverte !
La veste tombe, il est temps de discuter un peu avec le public. Emmanuel Moire chaque soir échangera et taquinera ceux qui sont venus le voir... Certains auront découvert son humour, bientôt un show comique? Une comédie? Il est prêt !



Place au medley, trio nostalgique heureux de ses premiers titres, violoncelles et violons sont là...

"Être à la hauteur", qui se renouvelle chaque soir avec la même force et la même intensité. Le Roi Soleil est de retour et le public qui fredonne chaque soir ces paroles amènent toujours un frisson supplémentaire. J'attends certains passages et certaines notes avec impatience et je ne suis JAMAIS déçue de la force qu'il y met. Il est droit, il est fier, il est Louis XIV à nouveau. Il nous porte par sa voix et ses notes, nous berce et nous soulève. Il est droit, seul, ses mains seules bougent. Je me surprends souvent bouche bée, à l'écoute, en fin de chanson quand mon sourire nait en découvrant le sien plein de bonheur qui nait à la fin de ce titre. Sans ce Roi, sans avoir été à la hauteur personne ne serait là ce soir...


"Le sourire", évidement, 1er single... Il donne des notes et des sourires, quelle douceur...
Fred au piano, les violons et le violoncelle l'accompagne et l'entoure sous une lumière douce et blanche...

Puis s'enchaine "Sans dire un mot", frissons....
Un frisson qui me traverse de la tête au pied, des notes qui bousculent des émotions qui nous basculent dans nos souvenirs, ce violon qui semble pleurer un peu, cette voix tantôt douce, tantôt forte. Cet espoir de cet amour bientôt là...

A peine le temps de la savourer, le voilà de retour au piano, non sans avoir allumer une grande bougie blanche. "Sois tranquille" arrive. 
Chaque soir je suis partagée entre la tristesse et l’apaisement qu'elle apporte. Parfois tout comme lui, l'émotion est trop forte, les absents trop présents.
Quelle émotion aussi de voir que les violons ont remplacés le transistor de la tournée l'Equilibre...
Toujours une salle silencieuse et respectueuse qui regarde l'artiste chanter sa peine sous une lumière douce et un jeu de bougies réelles ou non et se terminer par la magie des violons sous une slave d’applaudissement très intense et une vague d'amour qui peut provoquer les larmes....

Puis "Beau Malheur" vient relever les peines et porter les cœurs. Au second refrain l'envie est trop forte tout le monde est debout et chante avec lui...
"il m'a fallu la peur pour être rassuré...."
Surprise des lives, Emmanuel vient éteindre la bougie... bam bambam, un nouveau rythme pour une nouvelle cadence...qui s'accèlère peu à peu pour prendre force et ampleur... le phoenix renait de ses cendres...
Et puis sa voix s'envole et s'amuse. Musicien qu'il est... Il module sa voix comme il veut.
Puis il reprend place derrière le piano pour quelques phrases inédites... adressé à son public.
"Je peux seulement vous dire...." et deux derniers mots soufflés par le public.


"Ici ailleurs" l'hymne au bonheur ! Les lumières rouge, orange et jaune. Chaleureuses et digne d'un beau lever de soleil. Elle commence en douceur presque chuchotée et hop il embarque tout le monde.
"Ici ailleurs c'est pareil, pourvu qu'on ai ce lien."
Surprise il saute même dans la salle saluer son public. Il danse, il crie à tue tête, il sourit, il provoque les sourires et les rires. Il est FOU ! Mas que c'est bon !

Quelques notes suffisent ! "Adulte & Sexy" ! Le gilet tombe! Les souvenirs de la précédente tournée défilent et sa voix fait toujours merveille et son déhanché encore plus! Non mais on en parle ou bien? Taquin mais aussi coquin ! Il incarne parfaitement ce Adulte et Sexy. Il n'est décidément pas un ange !
On voit aussi que DALS est passé par là, il se lâche ! et nous offre encore une nouvelle version electro pop à coup de "oh oh oh" inédits ! La salle se transforme alors en véritable discothèque !


Place à "ne s'aimer que la nuit" qui se fait encore plus pop, prenant même des inspirations presque hispanique, avec des résonances et des échos qui charment et envoutent. C'est assez fou cette salle qui chante "on pourrait faire l'amour" et lui qui nous renversent avec ses vibes.... et ce final rahhhhhh !!! Chanteur et définitivement danseur ! Et malin il s'en va et nous laisse au taquet ! seul(e) et en manque ! Forcément le rappel est intense.

Il revient sous les acclamations avec souvent une petite blagounette. Et certains soirs c'était aussi le bonheur de retrouver Siruis Plan qui ouvrait idéalement le chemin ! pour un délicieux "Promis" magique et plein de tendresse. 4 voix magiques qui se mêlent et s'emmêlent divinement !
Une version que l'on voudrait ne jamais voir finir... et lui qui accentue ces "promisssss" et elles leurs respirations... Chaque voix se mêlent et se portent... Un moment que j'attends toujours avec impatience et donc je savoure chaque note !!! chaque vibe!!!

Skye, Claire et Gaelle avec Emmanuel sur Promis

Puis il remercie tous ces musiciens et son équipe.
Et nous propose de terminer le chemin avec "4 vies"

Toujours sur son tabouret, il nous raconte son histoire le plus simplement du monde. Lui, tel qu'il est et sa nouvelle vie à venir...
Un salut avec la belle équipe de musiciens qui l'entoure chaque soir. Moment complice où certains soirs on capte quelques échanges qu'eux seuls comprenent...

 

Emmanuel, qui aime les défis, nous annonce que cette année, pour cette tournée, il a décidé de relever un nouveau défi... Jouer d'un nouvel instrument... Et oui, il ajoute encore une nouvelle corde à son arc... enfin 5 !
Voilà une chanson inédite ! "Le Chemin" qu'il fredonne tout en douceur. La salle est à l'écoute et moi j'ai le coeur qui chavire.Quel cadeau cette chanson. C'est un au revoir PARFAIT!
Doux, délicat, subtil. Une leçon de vie qui rappelle à chacun que le chemin est celui que l'on choisit ou du moins que l'on prend...
"qu'à la fin de cette soirée tu en sois au moins conscient.
"que l'on soit deux ou bien cent".
"que tu écoutes un ami ou cette chanson simplement"...
"Qu'à la fin de cette nuit, ton réveil soit différent
Ton chemin est infini qu'en fais tu maintenant?"

Des concerts qui font du bien et qui offrent une pause musicale comme une bouffée d'oxygène.
Chaque soir c'est passer par mille et une émotions riches et variées que nous offre un artiste de talent, généreux et sincère. Un artiste qui sait se renouveler et nous surprendre chaque soir par de nouvelles envolées vocales surprenantes et belles. Un musicien hors pair, entouré d'une équipe plus qu'à la hauteur...
Le chemin continu... Rendez-vous sur la prochaine tournée !

mercredi 16 juillet 2014

[Sortie Ciné] Du livre au ciné ! La sortie de la semaine 16/07/2014


Du livre au ciné !!

"quand le livre prend vie au ciné"
16/07/2014 : Cette semaine au ciné on peut retrouver

  
  

DRAME,
Mars Distribution

"L'homme que l'on aimait trop" de André Téchiné est une libre-adaptation des mémoires de Renée Le Roux, "Une Femme face à la Mafia", publiées par cette dernière et son fils Jean-Charles chez Albin Michel le 11 avril 1989. Le cinéaste français raconte avoir été principalement motivé par le personnage d'Agnès Le Roux, dont il voulait faire le portrait : "J’ai donné mon accord définitif après avoir lu les lettres qu’elle écrivait à Agnelet, parce que contre toute attente j’y ai retrouvé des échos troublants avec un personnage que j’ai longtemps rêvé de porter à l’écran, Julie de Lespinasse.". (source) . (Editions Albin Michel).

Avec : Guillaume Canet, Catherine Deneuve, Adèle Haenel, Jean Corso, Judith Chemla...

En quelques mots :
1976. Après l’échec de son mariage, Agnès Le Roux rentre d’Afrique et retrouve sa mère, Renée, propriétaire du casino Le Palais de la Méditerranée à Nice. La jeune femme tombe amoureuse de l’homme de confiance de Renée, Maurice Agnelet, un avocat de dix ans son aîné. Maurice a d’autres liaisons. Agnès l’aime à la folie. Actionnaire du Palais de la Méditerranée, Agnès veut vendre sa part de l’héritage familial pour voler de ses propres ailes. Une partie truquée siphonne les caisses de la salle de jeux. On menace Renée. Derrière ces manœuvres guerrières plane l’ombre de la mafia et de Fratoni le patron du casino concurrent qui veut prendre le contrôle du Palais de la Méditerranée. Tombé en disgrâce auprès de Renée, Maurice met en relation Agnès avec Fratoni qui lui offre trois millions de francs pour qu’elle vote contre sa mère. Agnès accepte le marché. Renée perd le contrôle du casino. Agnès supporte mal sa propre trahison. Maurice s’éloigne. Après une tentative de suicide, la jeune femme disparaît à la Toussaint 1977. On ne retrouvera jamais son corps. Trente ans après, Maurice Agnelet demeure l’éternel suspect de ce crime sans preuve ni cadavre. Convaincue de sa culpabilité, Renée se bat pour qu’il soit condamné…